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30 décembre 2015 3 30 /12 /décembre /2015 17:30
Pas de panique: à condition d'habiter dans un rayon de 10km de la centrale nucléaire de Blaye, à partir de janvier 2016 vous aurez droit à une pastille d'iode!

Risque nucléaire : des comprimés d'iode distribués aux habitants près des centrales

SudOuest.fr avec AFP

La distribution débutera dès janvier 2016

Une nouvelle campagne de distribution préventive de comprimés d'iode pour les populations habitant près d'une centrale nucléaire sera lancée à partir de janvier, a annoncé l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).

Il s'agira de la cinquième campagne de ce type en France depuis 1997. La dernière a eu lieu en 2009. Les comprimés d'iode ayant une durée de validité de sept ans, il est temps de les remplacer.

En cas d'accident nucléaire, l'ingestion d'iode stable (iodure de potassium) est un moyen "simple et efficace" de protéger la thyroïde contre les effets de l'iode radioactif qui pourrait être rejeté dans l'environnement et qui est susceptible d'entraîner des cancers, souligne l'ASN.

"Il ne s'agira pas seulement d'une campagne de distribution d'iode mais aussi d'une campagne d'information sur le risque nucléaire", déclare Alain Delmestre, directeur général adjoint de l'ASN.

400 000 foyers dans 500 communes

La campagne de distribution va concerner les personnes et les collectivités (écoles, entreprises, administrations etc.) situées dans un rayon de 10 kilomètres autour des 19 sites nucléaires d'EDF.

Cela représente environ 400 000 foyers et 2.000 établissements recevant du public, répartis sur 500 communes.

Au-delà de ce rayon, il existe des stocks départementaux de pastilles d'iode qui pourraient être acheminés aux populations en cas de besoin, rappelle Alain Delmestre, chargé du comité de pilotage de la campagne.

Une fois la campagne d'information lancée, les populations vont recevoir un courrier les invitant à venir retirer en pharmacie des boîtes de comprimés d'iode.

Dans le cas où les personnes ne se déplaceraient pas, les comprimés leur seront finalement envoyés par la Poste quelques mois plus tard.

Des réunions d'information seront organisées par les pouvoirs publics en relation avec les Commissions Locales d'Information (CLI) et les maires pour permettre des échanges avec la population. Les frais de la campagne sont à la charge d'EDF.

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 22:26
Connaissez-vous la contribution au service public de l'électricité (CSPE)?

La contribution au service public de l'électricité (CSPE) est un prélèvement de nature fiscale sur les consommateurs d'électricité en France, destiné à dédommager les opérateurs des surcoûts engendrés par les obligations qui leur sont imposées par la loi sur le service public de l'électricité. La CSPE a été mise en place au début des années 2000 dans le but de rendre ces obligations compatibles avec l'ouverture à la concurrence du secteur de l'électricité. Elle est acquittée par le consommateur final d'électricité directement sur sa facture. Son montant total a progressé de 1,66 milliard d'euros en 2009 à 5,62 Mds € en 2014, et est prévu par la Commission de régulation de l'énergie (CRE) à 6,3 Mds € en 2015 et 7,0 Mds € en 2016.

La CSPE représentera environ 16 % de la facture moyenne d'électricité des ménages en 2016 selon la CRE, dont 39 % pour le soutien au photovoltaïque et 17 % pour l'éolien.

[...]

Présentation

La CSPE permet de rétribuer les fournisseurs d'électricité (EDF et les entreprises locales de distribution) pour les surcoûts liés à la mission de service public qui leur incombe. Il s'agit en particulier de10 :

  • l'obligation d'achat de l'électricité produite par la cogénération gaz et les énergies renouvelables : le surcoût est calculé à partir de la différence entre le tarif d’achat pour la filière considérée et les prix de marché de gros de l'électricité ; un calcul différent, fondé sur les prix de revient de production, est appliqué dans les zones non interconnectées (ZNI) ;
  • la péréquation tarifaire : le surcoût de la production électrique dans certaines zones îliennes non connectées au réseau (ZNI : départements d'Outre-Mer et Corse) est calculé par différence entre le coût de production et la composante production du tarif de vente, tarif qui a été aligné sur celui de la métropole à la fin des années 1970 ;
  • les aides sociales à l'achat d'électricité, en particulier depuis son classement en « produit de première nécessité » par la loi du 10 février 2000 (cf. Tarif de première nécessité) ;
  • une partie des charges liées au tarif réglementé et transitoire d'ajustement au marché (TaRTAM), de la fin 2006 au 1er juillet 2011.

Elle sert également à financer le médiateur national de l'énergie10.

La CSPE est payée par tous les consommateurs finaux d'électricité, avec un plafond pour les consommateurs des industries électro-intensives motivé par la volonté d'éviter de dégrader leur compétitivité à l'exportation (cf débats parlementaires lors de l'adoption de la loi, consultables sur le site internet de l'Assemblée Nationale).

--->>> lire tout l'article sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Contribution_au_service_public_de_l'%C3%A9lectricit%C3%A9

  • un article

Électricité : la taxe « CSPE » expliquée aux « nuls »

http://www.ifrap.org/agriculture-et-energie/electricite-la-taxe-cspe-expliquee-aux-nuls

  • voir aussi ce blog

http://naturjalles.over-blog.com/2015/12/des-amis-du-climat-parmi-d-autres-bnp-et-edf-dedommage-de-ses-investissements-dans-les-energies-renouvelables-grace-a-la-contributio

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 20:35
Climat. Ouf! on l'a échappé belle, la COP21 a accouché d'un accord CONTRAIGNANT!

Hollande le dit, Fabius le répète: l'accord "historique" sur le climat, conclu en fanfare samedi 12 décembre au Bourget, est non seulement "ambitieux, équilibré" et "juste, durable, dynamique" mais aussi "juridiquement contraignant". Vraiment?

Epluchons (Le CE) les 31 pages du texte en français. les 20 premières égrènent des "décisions COP". L'ONU en a pondu des centaines sur le climat depuis vingt ans sans perturber le moins du monde l'explosion des émissions de gaz à effet de serre. Les fameux transferts de plus de 100

milliards de dollars par an des pays riches aux pays pauvres? Ils font bien l'objet d'une "décision

COP": autant dire que, celle-ci n'ayant rien de contraignant, les pays du Sud peuvent toujours attendre.

Contenir la hausse des températures nettement au-dessous de 2°C et si possible à 1,5°C cela relève-t-il d'un engagement CONTRAIGNANT? Non, d'un vœu pieux ou, au mieux, d'un panneau fléché. Absorber autant de gaz carbonique que les pays en émettrons d'ici à 2100: con-trai-gnant? Non plus. A moins de trouver contraignante la solution adoptée par la Russie, pour

laquelle il suffit de regarder les arbres pousser.

L'accord de paris va-t-il au moins obliger tous ses signataires à réduire leurs émissions de CO2? Eh bien, non. La négociation a d'ailleurs failli tourner court, samedi en fin d'après midi, lorsque l'administration américaine s'est aperçue que l'article 4 réclamait une réduction des émissions en chiffres absolus. Fabius et consorts ont dû reprendre les négociations, avant de reculer fissa devant l'Oncle Sam, en assurant qu'il s'agissait d'une coquille. Et les fameux engagements chiffrés de baisse des émissions pris par chaque pays sur la base d'un joyeux volontariat? L'accord prévoit bien que des experts aillent vérifier tous les cinq ans qu'ils sont respectés. Mais d'une façon "non accusatoire et non punitive". Pas question de reprocher à la Chine de continuer de brûler des montagnes de charbon ou aux américains de rouler en 4X4.

Enfin, l'accord de Paris reste d'une application bien lointaine. Pour entrer en vigueur, il devra être signé par les 195 parties d'ici à avril 2017. Puis il devra être ratifié par les parlements nationaux, puis, puis... l'accord s'appliquera que lorsque 55 états représentant au moins 55% des émissions de CO2 l'auront ratifié...

source Canard enchaîné 16-12-2015 La COP est pleine (fin)

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 18:59
Les vaches nourries au maïs donnent un lait pas très bon pour la santé!

Les publicités nous montrent de belles vaches broutant dans de vertes prairies or la réalité est loin de ces paysages bucoliques.

Nos 3,7 millions de laitières ont droit à un menu composé en moyenne de 25% de maïs voire de 60% pour les usines sur pattes du Grand Ouest. D'après les experts, ce supercarburant permettrait de presque doubler la production de lait. Et d'atteindre les 8 000 litres par an ! Une vraie potion magique. Sauf que...

D'abord, le « lait maïs » aggrave le réchauffement climatique : les vaches qui broutent de l'herbe relarguent un tiers de moins de méthane qui est un puissant gaz à effet de serre dont l'effet de serre est environ 25 fois plus puissant que le dioxyde de carbone (CO2).
Et aussi: des vaches qui se nourrissent de maïs, ça donne du lait pas terrible pour la santé. Si le lait d'une vache à l'herbe est bourré d'omégas 3, aux vertus protectrices, celui d'une congénère élevée au maïs est trop riche en omégas 6, dont l'excès entraîne des réactions inflammatoires qui favorisent, entre autres joyeusetés, les cancers et les maladies cardio-vasculaires.

Avec une ration de 25% de maïs, on franchit déjà la ligne rouge qui est de quatre fois plus d'omégas 6 que d'omégas 3. Le plus vache, dans tout ça, c'est que le coût moyen de production du lait décroît au fur et à mesure que la proportion d'herbe pâturée augmente.

En clair, un éleveur dégage plus de marge brute avec deux vaches à l'herbe qui font leur 4 000 litres de lait chacune qu'avec une formule 1 à 8 000 litres qui roule au maïs. Mais le lobby céréalier étant passé par là, les aides publiques plafonnent à 130 euros l'hectare d'herbe, contre 230 euros l'hectare de maïs.

Aussi pour se garantir un approvisionnement en lait constant et à bas coût, les industriels du fromage et des yaourts, alliés aux grands groupes céréaliers, ont poussé les éleveurs à produire toujours plus. Et la vache à lait, c'est le consommateur, qui paie trois fois, sur sa santé, à la caisse et avec ses impôts, pour subventionner l'élevage intensif.

FC

Source

Canard enchaïné 16-9-2015 C'est bon comme du maïs

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 18:03
Bon appétit: arsenic et compagnie!

Il y en a dans la Jalle mais sa présence est des plus discrètes, par contre ce que l'on sait moins c'est sa présence "élevée" dans les produits à base de riz

Cet été, l'agence allemande de sécurité sanitaire des aliments a sonné l'alerte sur cette "présence élevée" d'arsenic et demandé à la Commission européenne de fixer dare-dare une limite pour l'arsenic dans le riz et dans tous les plats fabriqués avec.

Voilà l'occasion de rappeler qu'un consommateur adulte français avale en moyenne 23, 8 microgrammes d'arsenic par jour, heureusement pour nous cela reste six fois au-dessous de la dose hebdomadaire tolérable (DHT) susceptible de provoquer un changement de couleur de la peau ou une cyanose des doigts et des orteils. Le souci c'est que l'agence européenne EFSA s'est aperçue que des effets à longs termes( dommages au système nerveux, maladies cardiovasculaires et cancers de la peau ou de la vessie) apparaissaient bien au-dessous de la fameuse DHT. Il faut dire que l'arsenic goutte de partout.

Trente pour cent de notre ration quotidienne provient de l'eau du robinet ou en bouteille;Et puis il y a tous les produits gorgés de flotte comme les fruits, légumes, lait, céréales et surtout le riz...

Pourquoi? Tout ça parce que notre sol est farci de ce métalloïde et qu'à cause du remembrement, de l'artificialisation des sols, des décharges industrielles (Martignas) le ruissellement s'est aggravé et l'entraîne dans les cours d'eau.

Dans son dernier avis sur le sujet, l'agence sanitaire française avouait manquer de données pour estimer l'exposition des consommateurs les plus à risque tels que les jeunes enfants et les végétariens. A ce jour en Europe, il n'existe aucun règlement fixant un seuil pour le taux d'arsenic dans les aliments.

Fc

sources:

  • Canard enchaîné 7 octobre 2015 Arsenic, pas de panique
  • Arsenic dans les sols voir l'album et le tableau

http://naturjalles.over-blog.com/2015/09/avis-naturjalles-pour-la-consultation-du-public-prescrite-sur-la-demande-d-enregistrement-presentee-par-la-societe-guintoli-en-vue-d

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 17:15
Des amis du climat : la BNP première banque française et EDF cette dernière dédommagée de ses investissements dans les énergies renouvelables grâce à la contribution au service public de l’électricité ( CSPE) payée par les usagers! Les arbres n'ont pas fini de tomber!

Première banque française, la BNP est une vraie amie du climat, la preuve c'est qu'elle a parrainé généreusement la COP21 et que ces cinq dernières années , elle a engagé en investissement directs et indirects 6 milliards de dollars en faveur de programmes éoliens, solaires et géothermiques...contre 57 milliards de dollars dans le charbon, le pétrole et le

gaz ,énergies "réchauffantes" s'il en est! Du coup les Amis de la Terre ont placé le BNP parmi les neuf finalistes du prix Pinocchio, ce dernier attribué le 3 décembre a été dévolu à - Chevron, EDF et BNP-Paribas qui ont été les grands lauréats des Prix Pinocchio du Climat!

EDF "partenaire officiel d'un monde bas carbone" champion mondial de l'électricité nucléaire a déclaré en septembre qu'il allait doubler son parc de centrales électriques basées sur les énergies renouvelables et se développer à l'international dans le cadre de son plan stratégique pour 2030 : "Nous consacrerons aux énergies renouvelables le maximum d'investissements sans remettre en cause les ressources nécessaires pour moderniser ou renouveler le parc nucléaire français et britannique", a souligné Jean-Bernard Lévy, le PDG d'EDF!

Mais ce qu' EDF se garde de dire, c'est que le financement de ce maximum d'investissement provient de l'Etat et des consommateurs, les dindons de la farce!

Le fantasme d’énergies renouvelables supprimant les émissions de CO2, réduisant le déficit de la balance commerciale et asséchant la production de déchets nucléaires a déjà coûté cher aux contribuables tricolores. Selon un rapport de la Cour des comptes publié en 2014, le surcoût dû au renouvelable atteindra 70 milliards d’euros pour la période 2005 à 2020. D’après l’IFRAP, un institut de réflexion libéral, les subventions versées à la filière ont déjà accru les coûts de l’énergie de 17 % pour les consommateurs européens et de 21 % pour les industriels.

Les usagers financent déjà une bonne partie de ce gaspillage d’argent public à travers la contribution au service public de l’électricité ( CSPE) dont le montant dépasse dorénavant 5 milliards par an. Surtout destinée au développement des énergies renouvelables, la CSPE est perçue sur la facture d’électricité. La CSPE représentait 13 % de la note acquittée par les abonnés d’EDF en 2013. Ce « quasi-impôt » va continuer à grimper sans contrôle puisque son niveau n’est pas soumis à l’approbation du Parlement. Créée par le gouvernement Raffarin (2003), la CSPE dédommage EDF pour son soutien au développement des énergies vertes. L’opérateur achète l’électricité fournie par le solaire et l’éolien à un tarif plus élevé que celui auquel elle sera revendue. Aux Français de payer la différence.

FC

sources

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19 décembre 2015 6 19 /12 /décembre /2015 19:17
Un "chêne vert" pour le climat ...

A l‘initiative de Naturjalles, et avec le concours de la mairie de St Médard, un chêne vert a été planté dans la cour de l’école la Garenne.

L’association était représentée par sa présidente F. Couloudou et Alain Eymerie son secrétaire. Jacques Mangon le maire était présent, entouré des enfants de l’école et des enseignants, d’élus dont les adjoints Thierry Leblond, et Jean-Claude Acquaviva, de Guillaume Desbieys responsable des services techniques qui se sont chargés de la préparation de la plantation, et de Fabienne Jariod en charge de l’agenda 21.

La Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) co-organisateur de l’opération « 1 arbre pour le climat » étaient représentées par Mathieu Sannier et Mlle Bourgeois. Michel Andrieu président des jardiniers de St Médard était également là.

Dans de courtes allocutions le maire et l’adjoint délégué au développement durable ont parlé du climat, des conséquences de son réchauffement sur notre quotidien et de ses effets néfastes à moyen terme. Ils ont rappelé le rôle fondamental des arbres, élus pour 200 ou 300 ans, dans les écosystèmes, et dans le bilan énergétique de notre planète.

De son côté, Françoise Couloudou s’est réjouie de participer à cette plantation car pour elle « nous assistons malheureusement trop souvent à des coupes de bois : 3 ha à St Médard pour l’extension d’une surface commerciale, 137 ha à Salaunes, 250 ha à Sainte Hélène pour l’implantation de centrales PV au sol … »

Elle a comparé l’arbre aux enfants : les pieds au sol et la tête vers le ciel. Elle a indiqué que le chêne vert avait été choisi car c’est une essence adapté au milieu et favorisant la venue d’espèces animales qui lui sont liées, les oiseaux en particulier qui en feront leur maison*.

En terminant son propos elle a souhaité que « chacun, à son petit niveau, s'attache à changer ses habitudes afin de préserver la terre et transmettre ainsi aux générations suivantes une planète en bon état ».

Après la mise en terre de l’arbre, chaque enfant déposa un peu de compost à son pied pour l’aider à s’adapter à son nouveau cadre de vie.

Alain Eymerie

* un lien donnant des conseils pour installer un nichoir : http://www.ornithomedia.com/pratique/conseils/installer-nichoir-dix-commandements-respecter-00222.html

Un "chêne vert" pour le climat ...
Un "chêne vert" pour le climat ...
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17 décembre 2015 4 17 /12 /décembre /2015 22:09
Avec "Action Nature" manifestons à Lyon pour le loup le 16 Janvier !

La Convention Vie et Nature vous invite à participer à cette manifestation !

Il est important de se mobiliser face à un exécutif sans ambition écologique ni vision d'avenir (Ministères de l'Ecologie et de l'Agriculture réunis) qui ne sait répondre aux revendications des éleveurs et des chasseurs que par des mesures de destruction.

L'appel de Pierre Athanaze : L'urgence est désormais à la mobilisation ! Et sa réussite dépend de chacun de nous...

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17 décembre 2015 4 17 /12 /décembre /2015 21:50
Nouvel épisode sur le projet d'extension de l'une des quatre plus grosses porcheries de Gironde, la SAS Le Lay, à Saint-Symphorien. Les opposants au projet d’extension reprochent à la préfecture de ne pas communiquer les résultats d’une étude.

Nouvel épisode dans la controverse sur le projet d'extension de l'une des quatre plus grosses porcheries de Gironde, la SAS Le Lay, à Saint-Symphorien, détenue à 70 % par la coopérative porcine Fipso.

Alors qu'approche la fin du délai que s'est accordé le préfet pour rendre sa décision sur la demande d'autorisation du propriétaire de porter la capacité d'élevage de 7 600 animaux-équivalents à 11 600, les opposants dénoncent « un manque de transparence des services de l'État ».

La réponse du préfet devrait tomber au plus tard le 20 décembre, si un nouveau sursis à statuer n'est pas prononcé. Le dernier remonte à juin. La préfecture avait repoussé sa réponse, le porteur de projet s'étant engagé à fournir une étude d'impacts hydrogéologiques.

Celle-ci lui a été remise début août. Ses résultats seraient « rassurants », indiquait en septembre à « Sud Ouest » la direction départementale de la protection des populations.

En attente de décision

« Peu après, nous avons rencontré le préfet et lui avons demandé si nous pouvions en avoir communication. Il s'y est engagé. Mais nous n'avons rien reçu. Début octobre, nous l'avons relancé par courrier. Toujours rien. Si cette étude est si bonne, pourquoi ne pas nous la donner ? », s'étonne Philippe Barbedienne, directeur de la Sepanso, l'une des associations de défense de l'environnement opposée au projet.

Un étonnement partagé par le maire de Saint-Symphorien, Guy Dupiol, qui a assisté à une réunion sur le sujet organisée à la sous-préfecture de Langon, jeudi dernier.

« J'ai rappelé l'opposition de la commune et les nombreux avis défavorables à ce projet, explique-t-il. Mais rien n'a filtré sur la décision du préfet. Mon sentiment, c'est qu'il va prendre plus de temps pour réfléchir. »

Sollicités par « Sud Ouest », les services de la préfecture ne répondent pas, période de réserve oblige avec les élections régionales.

---->>> lire l'article sur:

http://www.sudouest.fr/2015/12/09/porcherie-un-manque-de-transparence-2211499-6827.php#article-comments

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15 décembre 2015 2 15 /12 /décembre /2015 21:21
Mortalité des abeilles : on connait maintenant le coupable

Mortalité des abeilles : on connait maintenant le coupable

4 mai 2015 / Baptiste Giraud (Reporterre)

Deux études scientifiques viennent de démontrer la nocivité des néonicotinoïdes sur les abeilles, alors que les ruches connaissent ce printemps une mortalité impressionnante. Quels sont ces produits au nom compliqué ? Des insecticides nouvelle génération. Enquête sur ces molécules dangereuses qui continuent à être déversées dans la nature.

Bambi, Equinoxe, Cruiser, Gaucho, Poncho, Confidor, Proteus : autant de produits phytosanitaires comprenant des molécules néonicotinoïdes aux noms tout aussi barbares (acétamipride, clothianidine, dinoturéfane, imidaclopride, nitempyrane, thiaclopride et thiaméthoxane). Ils visent à éliminer des insectes dits « ravageurs » qui menacent les cultures agricoles. Inodores, insipides, invisibles, on en retrouve un peu partout dans la nature, et dans nos assiettes à faible dose.

Ces sept molécules néonicotinoïdes entrent aujourd’hui dans la composition d’une dizaine d’insecticides, eux-mêmes dérivés en plusieurs formulations. Ces molécules agissent sur le système nerveux des invertébrés et entraînent leur paralysie jusqu’à la mort. La première d’entre elles a été découverte au début des années 1990 et la mise sur le marché a commencé en 1994. Depuis, elles ont rencontré un fort succès, au point de représenter aujourd’hui plus de 40 % des insecticides vendus dans le monde chaque année.

Des insecticides qui pénètrent dans les plantes et agissent de l’intérieur

Pourquoi cet engouement ? Principalement en raison du mode d’utilisation des néonicotinoïdes. Ils ont la particularité d’être ce qu’on appelle des insecticides systémiques : une fois appliqués sur les cultures, ils pénètrent dans les plantes et en rendent toxique (« protègent » disent les fabricants) la totalité, pendant toute leur durée de vie.

---->>> Lire tout l'article

http://www.reporterre.net/Mortalite-des-abeilles-on-connait

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