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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 19:07

st medard projet immob ds bois av de pagnot

Remis au Maire le 19 12 2012

Photo0851 st médard projet immo issac

Ci -dessus ce qui reste du "Petit Bois" et souvenir émouvant remis au

chantre de "la nature au coin de ma rue"!

La réunion est prévue pour le devenir(?) de cet "espace vert" du lotissement le Club des pins

    Mercredi 16 janvier 2013 à 18 h.
Salle Antonin Larroque Centre Pierre Mendes-France

 

       Par contre un voile pudique s'étend sur le projet baptisé

  • "la Clairière des Salamandres" Avenue de Pagnot. Le promoteur annonce une résidence de 49 logements à taille humaine au coeur d'un "parc boisé et classé" (s'il reste des salamandres elles iront ailleurs se faire voir)loin des services et la petite route encore dans la forêt est parcourue par de nombreux camions desservant les entreprises mitant déjà cet espace boisé:

(dont le centre de retraitement des déchets verts Grande Jaugue Touban)

              Le promoteur a un argument massu "Investir grâce au dispositif DUFLOT", exit le dispositif Scellier! Mais ce projet est à taille humaine...

  • Un deuxième projet est également annoncé par le même promoteur baptisé "le jardin des Bruyères" 24 appartements avenue de Lignan à Issac...

 C'est sans doute une méthode pour lutter contre l'étalement urbain : destructeur des espaces naturels et de la biodiversité par le mitage de la forêt  et artificialisation des sols?

  C'est le programme "la nature au coin de ma rue" sauce St Médard ou une CUB aux

55 000 ha d'espaces naturels tant vantée par M Feltesse.

 

FC


 

st médard projet imm Club des pins à la place bois

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 16:29

 

   Aménagement des cours d‘eau, vers le bon état écologique ?

sur http://www.natura-sciences.com

      Paru le 07.01.13

Les cours d’eau sont stratégiques pour le « verdissement » du secteur de l’énergie, constituent des axes de communication intéressants pour le transport, sont utiles à l’agriculture et à l’industrie et accueillent sur leurs rives des grandes villes. Mais parallèlement au développement de ces activités, ces écosystèmes sont mis à mal.

pollution des eaux

Le transport fluvial et l’artificialisation des berges ont un impact sur la qualité des eaux. ©  Jacqueline Joly


      La plupart de l’eau douce est polluée en France et dans le reste du monde. Les cours d’eau sont modifiés, tronqués, barrés, déviés, rectifiés. Ces modifications physiques sont justifiées par des besoins d’aménagement, d’infrastructures et de sécurité des populations humaines. Mais les impacts sur les écosystèmes peuvent être lourds.

   Une pollution des eaux généralisée

     Le constat est sans appel : plus de la moitié des étendues d’eau en Europe sont affectées par des pollutions et des modifications physiques, selon le rapport« Eaux européennes –évaluation du statut et des pressions » de l’Agence Européenne pour l’Environnement (AEE) publié en novembre 2012.  C’est également un tiers des lacs et des eaux de transition et 40 % des fleuves et des eaux côtières qui sont pollués par les fertilisants, ce qui mène à l’eutrophisation.

    Ce rapport pointe également du doigt les modifications physiques des eaux douces de surface européennes. Celles-ci altèrent les habitats et les écosystèmes de 40 % des rivières et eaux de transition et de 30 % des lacs. Selon l’AEE, il s’agira de procéder à une « renaturation » des étendues d’eau de manière à rétablir leurs caractéristiques naturelles. Toutefois, seulement 52 % des cours d’eau pourront prétendre à un statut écologique dit « bon » en 2015, et donc atteindre l’objectif fixé par la Directive Cadre sur l’Eau de l’Union Européenne.  Jacqueline McGlade, Directrice Exécutive de l’AEE, déplore que « les Etats Membres de l’Union Européenne semblent bien partis pour manquer –et de beaucoup- les objectifs à venir, c’est pourquoi ils doivent accélérer les efforts pour protéger la santé humaine et les écosystèmes dont nous dépendons. »

    Le débit d’eau, la largeur, la profondeur, la pente et les méandres d’un cours d’eau influent sur son biotope. C’est dans ces conditions que la vie a pu s’y développer et prospérer. Avec ses  522 barrages de plus de 15 mètres de haut, la France est bien dotée pour sa production électrique, au détriment des écosystèmes fluviaux. En tout, 60 000 seuils et barrages sont recensés sur les cours d’eau métropolitains selon le Ministère de l’Environnement, soit un tous les 5 kilomètres.

http://www.natura-sciences.com/eau/cycle-eau/pollution-des-eaux-413.html


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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 15:58

  L'eau dans la ville

Publié: 28/08/2012 Dernière modification: 20/12/2012  sur   http://www.eea.europa.eu/fr/

    Avec la croissance de la population, l'urbanisation et le développement économique, la demande en eau douce augmente dans toutes les zones urbaines d’Europe. Parallèlement, le changement climatique et la pollution influent également sur la quantité d’eau disponible pour les résidents des villes. Comment les villes d'Europe peuvent-elles continuer à fournir de l'eau douce propre à leurs résidents?

   Image © Peter Bros Nissen | flickr.com

      En juillet 2011, des pluies intenses ont inondé certaines parties de Copenhague. Les systèmes de drainage urbain n'ont pu gérer des volumes d'eau atteignant jusqu'à 135 mm en l’espace de deux heures. Les problèmes liés à l'eau ne se sont pas arrêtés là. Peu après les inondations, de grandes parties de la ville ont été affectées pendant des semaines par des polluants dans l'eau potable liés aux réparations de la canalisation principale. Des problèmes identiques liés à l'eau touchent d'autres villes.

Plus des trois quarts des citoyens européens vivent en zones urbaines et dépendent de  l'eau potable fournie par les villes. Environ un cinquième de l'eau douce totale en Europe approvisionne les systèmes publics de distribution d'eau  – une eau qui est dirigée vers les foyers, les petites entreprises, les hôtels, les bureaux, les hôpitaux, les écoles et certaines industries.

      Assurer un approvisionnement régulier en eau potable propre au public n'est pas une tâche facile. Le système de distribution de l'eau doit considérer de nombreux facteurs dont la population et la taille du foyer, les changements des caractéristiques physiques des surfaces terrestres, le comportement du consommateur, les demandes du secteur économique (telles que les activités touristiques), la composition chimique de l'eau et la logistique du stockage et du transport de l'eau. Il doit aussi tenir compte des enjeux liés au changement climatique pouvant inclure des inondations inattendues, des canicules et des périodes de pénurie d'eau.

       Pour éviter les crises de distribution de l'eau en milieu urbain, nous devons gérer les ressources en eau de façon efficace à chaque étape: de l'approvisionnement en eau potable propre à ses différentes utilisations par les consommateurs. Ceci peut impliquer la réduction de la consommation et la découverte de nouveaux moyens de récupération et d’utilisation d'eau. La gestion de l'eau devrait également être mieux intégrée dans une gestion urbaine élargie prenant en compte les caractéristiques de l'environnement local.

   Payer l'eau que nous utilisons

    Les progrès technologiques et les nouveaux systèmes de tarification ont déjà permis une réduction significative du volume d'eau utilisé par les ménages, représentant  typiquement entre 60 à 80 % de l'approvisionnement en eau potable en Europe. Les progrès technologiques des  appareils ménagers tels que les lave-linge et les lave-vaisselle, par exemple, ont contribué à la réduction de l'utilisation de l'eau sans nécessiter de changement de comportement ou une sensibilisation aux questions de l'eau.

   Des améliorations importantes sont également possibles avec les changements des habitudes d'utilisation de l'eau pour l'hygiène personnelle, qui représente actuellement 60 % de l'eau utilisée par les ménages. Les systèmes de remplacement de citerne dans les toilettes, par exemple, sont un moyen avantageux et simple de réduire la consommation d'un litre par chasse d'eau. Des ajustements mineurs apportés aux systèmes de douche, comme ceux à jet aéré, peuvent également entraîner des économies d'eau.

Tel qu'énoncée dans la directive-cadre sur l'eau de l'UEen, lier le prix de l'eau au volume d'eau consommé peut inciter à une utilisation plus durable. En Angleterre et au Pays de Galles, les personnes vivant dans des propriétés avec compteurs en utilisent en moyenne 13 % de moins que celles sans compteurs.

   Réutiliser l'eau de pluie et les eaux ménagères

    Seulement 20 % de l'eau utilisée par les secteurs recevant un approvisionnement en eau potable est réellement consommée. Les 80 % restants sont rejetés dans l'environnement, principalement comme eaux usées traitées. Les surfaces bétonnées et scellées dans les villes dirigent en général les eaux de pluie vers le réseau d'égouts où elles rejoignent les eaux usées. Ceci empêche les eaux de pluie de pénétrer dans le sol et de former une partie des réserves d'eau souterraine dont nous pourrions bénéficier ultérieurement. Le trop-plein des eaux de pluie et des eaux usées transite souvent par des usines de traitement d'eau avant d'être renvoyé vers les rivières, généralement loin des villes. En modifiant les systèmes de distribution d'eau en milieu urbain, les eaux de pluie et les eaux usées moins polluées pourraient être réutilisées dans les villes.

 

      La réutilisation des eaux ménagères est l'un de ces changements. Les eaux ménagères englobent toutes les eaux usées domestiques ne provenant pas des toilettes, telles que les eaux de bains, de douches, de lavabos et de cuisine. Cette eau peut être traitée directement sur site - voire non traitée -  pour des usages requérant une eau douce de moindre qualité, par exemple, la chasse d'eau des toilettes.

     Les villes pourraient aussi recueillir l'eau de pluie coulant d'un toit ou d'une allée dans un réservoir et cette eau pourrait servir pour les utilisations ne nécessitant pas de l'eau potable, comme pour les chasses d'eau, le lavage des voitures ou le jardinage. Elle pourrait également être directement utilisée pour le renouvellement de la nappe phréatique

 

   lire la suite

http://www.eea.europa.eu/fr/articles/l-eau-dans-la-ville

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 15:14

     Cela fait quelques années qu'une alerte a été lancée sur l'impact des déchets plastiques sur l'environnement et l'océan. En 2008, la revue Courrier International relayait l'annonce de la naissance d'un 7e continent en plastique. Un sujet alarmant que la chaîne Arte abordera en diffusant jeudi 10 janvier 2013 à 22:25 un reportage qui dresse un état des lieux des connaissances scientifiques actuelles sur les conséquences de la pollution des océans par les matières plastiques.

 

http://www.actu-environnement.com/ae/news/reportage-arte-plastique-menace-ocean-17471.php4#xtor=ES-6

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8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 21:09

 

La crise économique désintéresse les Français de l'environnement(sur notre-planete.info)

08 janvier 2013

 


           Dans le cadre de son baromètre annuel, l'ADEME a publié les résultats de son étude pour évaluer l'évolution des valeurs et modes de vie des Français et la place que l'environnement pourrait tenir. Le constat est grave : plus la crise économique est forte, plus l'environnement désintéresse.

Le sondage « Les Français face à la crise du long terme[1] » permet à l'ADEME d'observer les tendances et les évolutions des valeurs et des comportements des Français dans ces différents domaines pour mieux cerner leurs préoccupations, identifier les freins et les leviers pour faire évoluer les comportements en faveur d'un modèle de société plus durable.

             Dans un contexte de crises économiques et financières, ces enquêtes démontrent l'impact de ces préoccupations sur la prise en compte des questions environnementales :  malgré une bonne connaissance de ce qu'est le développement durable et un regain de confiance envers la communauté scientifique, c'est le plaisir et l'appréciation du moment présent qui priment sur les questions écologiques.

         Le plaisir à court terme est une priorité pour 8 Français sur 10

          Pour la première fois cette année, l'ADEME a cherché à définir les tendances d'évolution des valeurs et modes de vie des Français, afin de connaitre la place que l'environnement pourrait tenir. Les principales craintes des Français portent sur leur situation économique et financière : 69% des Français interrogés pensent que, d'un point de vue économique, « la prochaine génération vivra plus mal que la génération actuelle ». Le constat est sans appel : les Français ne veulent pas sacrifier leur bien-être présent à un futur de plus en plus incertain et se recentrent sur la sphère personnelle et l'hédonisme : vivre le moment présent est donc une priorité pour 8 Français sur 10.

Malheureusement, dans nos sociétés de surconsommation, acheter est trop souvent considéré comme la clé du bonheur. Ainsi, l'instantané passe par le désir de consommer malgré la dégradation du pouvoir d'achat : plaisir et contrainte budgétaire sont étroitement liés. En 2008, 58% des Français estimaient que « consommer mieux » c'était « consommer moins » : aujourd'hui ils ne sont plus que 54%.

         Triste réalité que ce cercle vicieux : moins les Français ont de pouvoir d'achat, plus ils se sentent malheureux et souhaitent consommer pour pallier cet état. Or, en consommant davantage, ils dégradent inévitablement l'environnement pour un bonheur éphémère et illusoire.

  lire la suite sur

 

 

http://www.notre-planete.info/actualites/actu_3602_crise_economique_interet_environnement.php

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5 janvier 2013 6 05 /01 /janvier /2013 18:29

Résidus de pesticides dans les aliments 19 décembre 2012

   Générations Futures vous révèle comment les instances officielles divisent artificiellement par 2 les quantités de pesticides retrouvés dans les aliments…

Nouvelle interrogation concernant les Limites Maximales de Résidus de pesticides dans les aliments : Générations Futures révèle comment dans ses calculs la Commission européenne divise artificiellement par 2 les quantités de pesticides retrouvés dans les aliments pour faire chuter le nombre de dépassements de ces LMR…sur le papier !

   Polémique sur les LMR. On se souvient qu’il y a quelques années une polémique avait fait rage en Europe lors de l’harmonisation des Limites Maximales de Résidus (LMR) pour les résidus de pesticides dans les aliments. A l’époque beaucoup d’ONG européennes avaient protesté contre le relèvement d’un grand nombre de LMR à cette occasion, permettant ainsi à de plus grandes quantités de pesticides d’être tolérées dans les aliments dans l’UE (1).

Aujourd’hui, Générations Futures révèle un nouveau tour de passe-passe de la Direction Générale Santé consommation (DG Sanco) qui, à la Commission européenne est en charge du suivi des résidus de pesticides dans les aliments.

...

 


     Des chiffres joliment rabaissés… Le tour de passe-passe intervient ensuite et il est énorme : la DG Sanco considère arbitrairement que la valeur qui sera retenue pour juger d’un éventuel dépassement de LMR est –  non la valeur mesurée mais – la valeur inférieure de cet intervalle (valeur mesurée – 50%)

 

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http://www.generations-futures.fr/pesticides/residus-de-pesticides-dans-les-aliments/


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4 janvier 2013 5 04 /01 /janvier /2013 16:47

Photo0827.jpgbiodiversité sous bois juil10(4)

 

 Ce que vous ne verrez plus, patrimoine naturel et architectural vivant les mêmes menaces et leurs dernières heures!

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Que ce papillon fragile vole vers vous

et vous apporte

 

calme, bonheur et sérénité

 

Naturjalles

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2 janvier 2013 3 02 /01 /janvier /2013 15:44

    Voici l'édito de Colette Gouanelle dans le dernier "Poulpe" de Décembre 2012(bulletin de liaison de  la SEPANSO Gironde)

 Cet édito résume bien la situation telle que Naturjalles le ressent et vérifie malheureusement sur le terrain! 


      La transition écologique, expression certes plus acceptable que "développement durable",Photo0855
est un objectif officiel de l'Etat depuis la conférence environnementale qui s'est déroulée
en septembre dernier.


      Si la plupart des sujets qui font partie de nos préoccupations ont été abordés, il subsiste de
 nombreuses interrogations quant à la réelle volonté du gouvernement et la mise en oeuvre
 des mesures annoncées.
       Comment peut-on être sûr que les pouvoirs publics souhaitent une plus grande participation
des citoyens aux décisions impactant l'environnement tant que l'on n'a pas la preuve
 que certains projets délétères seront réexaminés.

       Si l’objectif de sobriété et d’efficacité énergétique a bien été annoncé, il semble que l'on
 tergiverse beaucoup avant de mettre en oeuvre les mesures d'économie qui s'imposent.
 On voit toujours  "fleurir" des projets photovoltaïques aux dépens de la forêt et des projets
 éoliens sur les couloirs migratoires alors même qu'aucun calendrier n'a été fixé concernant
 la part du nucléaire dans le mix énérgétique.

       Si une stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens est prévue, rien n'est entrevu
 au sujet des nanotechnologies et il est même prévu une révision des engagements du
du Grenelle concernant les pesticides qui ne semble pas aller dans le bon sens.

         La biodiversité est devenue le terme à la mode ; il est certes plus facile de faire
accepter la création d’une agence nationale de la biodiversité (après la création d’une agence régionale,

et d’un observatoire départemental de la faune sauvage…..) que de réellement
mettre en place une régulation qui permettrait de préserver ce qu’il reste de nature
 et qui ne sera vraisemblablement pas davantage protégé par la Trame Verte et Bleue
 que l’on est en train d'élaborer

         Il est vrai que le problème qui préoccupe le plus le gouvernement
est économique et que l’on fonctionne toujours selon le même modèle,
 à savoir la croissance, avec ses corollaires - consommation d’espaces naturels et pollution -
comme seul moyen de créer des emplois
Le changement de paradigme, c’est pour quand?


CG

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23 décembre 2012 7 23 /12 /décembre /2012 21:20

Les défis de l'urbanisation mondiale sur la biodiversité

residence_cour© C. Magdelaine / notre-planete.info

     Si les tendances actuelles se maintiennent, l'urbanisation planétaire aura des répercussions importantes sur la biodiversité engendrant des conséquences sur la santé humaine et le développement, selon une nouvelle étude de la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique (CDB).

L'analyse intitulée Les villes et les perspectives de la biodiversité est la première analyse mondiale sur la façon dont les schémas d'expansion des terres urbaines anticipés influenceront la biodiversité et les écosystèmes vitaux.

Cette évaluation, qui s'appuie sur les contributions de plus de 123 scientifiques du monde entier, indique que plus de 60 % des terres qui deviendront urbaines d'ici 2030 n'ont pas encore été construites.


     Cela représente une occasion majeure d'améliorer grandement la durabilité des villes par la promotion d'un développement urbain à faible émission de carbone et qui soit économe en ressources, pouvant ainsi réduire les effets négatifs sur la biodiversité et améliorer la qualité de la vie, déclare l'étude.

  lire la suite sur

http://www.notre-planete.info/actualites/actu_3544_urbanisation_biodiversite.php

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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 18:59

Les services rendus par la forêt

Les forêts, réserve de vie

tronc© C. Magdelaine / notre-planete.info

      Les forêts sont biologiquement plus diverses que tout autre écosystème terrestre. Elles couvrent environ 31% de la surface de la Terre, soit près de 4 milliards d'hectares, et contiennent plus du deux tiers des espèces vivantes terrestres. Les forêts tropicales qui ne constituent que 6% des terres émergées, possèdent plus de la moitié de la biodiversité terrestre. Etant la plus vaste forêt tropicale humide au monde, la forêt amazonienne détient une importante biodiversité. Le bassin amazonien à lui seul abrite un quart des espèces terrestres (Convention sur la diversité biologique, 2011).

     La vie humaine est intrinsèquement liée à la biodiversité. Si nous pouvons modifier notre relation à la nature, nous ne pourrons en modifier notre dépendance. L'homme se sert des services que nous rend la nature et nous leur devons tout en termes d'existence.

     Selon la FAO, plus de 1,6 milliards d'individus dépendent des forêts comme source de revenus. La biodiversité forestière est la base de plus de 5000 produits commerciaux : lin, coton, huiles aromatiques, huiles essentielles, miel, résines, champignons, caoutchouc, produits pharmaceutiques... Nous connaissons bien ces produits générés par les forêts. Ces services d'approvisionnement représentent à nos yeux une valeur marchande. Par contre, de nombreux services fournis par les forêts ne sont pas reconnus ou sous-estimés dans notre économie de marché, alors qu'ils sont indispensables, c'est par exemple le cas des services de régulation ou culturel (voir ci-après).

 

lire tout l'article

http://www.notre-planete.info/environnement/biodiversite/forets_services_0.php

 

rappel des services de la forêt

- Régulation du climat en sequestrant du CO2 (1ha de forêt sequestre 25t de CO2)

- Atténuation des effets des inondations et érosion du sol

- Purification de l'eau

- Pollinisation

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